LE BIM

NOUS NOUS POSITIONNONS COMME PRÉCURSEUR DE LA DÉMARCHE BIM DANS L'ÉCONOMIE DE LA CONSTRUCTION

NOTRE COMPÉTENCE BIM

Tous nos économistes ont suivi une formation BIM.

Nous accompagnons l’architecte et le BIM manager dans l’élaboration de bases de données, des maquettes numériques.

Depuis plus de 20 ans, nous avons introduit une méthodologie propre à alliance-economie en utilisant nos codifications dans toutes nos prescriptions. Ces codes peuvent alors constituer une base exploitable pour la maquette numérique.

De plus, nous avons développé notre propre charte BIM : notre protocole permet d’améliorer les échanges entre les intervenants en phase conception et phase travaux (Architectes, Bureaux d’Etudes, modélisateurs, entreprises,…).

Aujourd’hui, une grande quantité de nos projets vivants sont développés dans le cadre d’une démarche BIM.

Nous collaborons sur des projets BIM niveau 1, niveau 2, niveau 3

Le BIM, pour Building Information Modeling, est bien plus qu’un simple outil de modélisation ; c’est une maquette numérique qui révolutionne la gestion de projet en construction. Cette technologie permet de réaliser des estimations de coûts très précises et d’ajuster les coûts en temps réel tout au long du processus de construction. La modélisation en trois dimensions qu’offre le BIM est essentielle pour visualiser les incohérences techniques potentielles avant même le début des travaux, permettant ainsi une meilleure anticipation et résolution des problèmes techniques, assurant une coordination optimale entre les différents corps de métier et une optimisation des délais de réalisation.

Le BIM dépasse la simple fourniture de données initiales ; il engage un processus de suivi et d’ajustement en temps réel des coûts et des ressources tout au long du projet. Nos économistes de la construction exploitent cette modélisation pour visualiser l’impact financier de chaque modification de conception et pour gérer les coûts de manière proactive, en s’assurant que le projet reste dans les limites de l’enveloppe budgétaire.
Cette vision en temps réel est un pilier pour le maintien de l’équilibre économique du projet, offrant une transparence accrue dans le suivi des coûts et renforçant la collaboration entre toutes les parties prenantes. Le BIM s’impose donc comme une plateforme centrale pour les discussions financières, permettant de prendre des décisions éclairées à chaque étape de la conception et de la construction, en tenant compte du point de vue de chacun.
L’utilisation du BIM dans la phase de conception est particulièrement avantageuse, car elle assiste dans la création de plannings de construction détaillés qui influent directement sur la gestion globale des coûts du projet. En tant qu’allié de taille, le BIM permet la création de modèles 3D intelligents qui détaillent chaque aspect d’un bâtiment, facilitant grandement l’exploration de la conception et fournissant aux parties prenantes des représentations visuelles avant la construction réelle. Grâce à ces modèles, les économistes de la construction peuvent explorer différentes options de conception et identifier celles qui offrent le meilleur rapport qualité-prix.

Grâce à cette approche intégrée, nous contribuons à maximiser l’efficacité économique du projet, en veillant à ce que chaque décision de conception ajoute de la valeur à l’ouvrage tout en respectant les contraintes budgétaires, notamment dans une phase de Value Engineering où la modélisation BIM joue un rôle crucial.

Nous nous positionnons comme précurseur de la démarche BIM dans l’économie de la construction.
Tous nos économistes ont suivi une formation BIM.
Nous accompagnons l’architecte et le BIM manager dans l’élaboration de bases de données, des maquettes numériques.
Depuis plus de 20 ans, nous avons introduit une méthodologie propre à Alliance Economie en utilisant nos codifications dans toutes nos prescriptions. Ces codes peuvent alors constituer une base exploitable pour la maquette numérique.
De plus, nous avons développé notre propre charte BIM : notre protocole permet d’améliorer les échanges entre les intervenants en phase conception et phase travaux (Architectes, Bureaux d’Etudes, modélisateurs, entreprises,…).
Aujourd’hui, une grande quantité de nos projets vivants sont développés dans le cadre d’une démarche BIM.
Nous collaborons sur des projets BIM niveau 1, niveau 2, niveau 3


La différence entre BIM 2 et BIM 3 réside principalement dans la dimension de collaboration et le degré d’intégration des informations.

BIM 2 : Collaboration et Partage d’Informations
Le BIM de niveau 2 se caractérise par une collaboration accrue entre les différents acteurs d’un projet. À ce stade, les professionnels utilisent leurs propres outils et logiciels pour créer des maquettes numériques, mais il existe un effort concerté pour partager les informations de manière structurée. Les fichiers sont souvent échangés dans des formats communs, tels que IFC (Industry Foundation Classes), permettant une interopérabilité entre les différents systèmes utilisés par les architectes, les ingénieurs et les constructeurs.
Dans le BIM 2, les acteurs travaillent de manière plus intégrée, avec des échanges d’informations qui facilitent la coordination et la gestion des conflits potentiels dans le projet. Cela permet d’optimiser les processus de construction et de réduire les erreurs et les coûts associés aux modifications tardives.

BIM 3 : Intégration et Intelligence des Données
Le BIM de niveau 3, parfois appelé iBIM ou BIM intégré, représente une évolution vers une intégration totale des données. Dans cette approche, il n’y a plus d’échange de fichiers individuels ; au lieu de cela, tous les acteurs accèdent et contribuent à une maquette numérique unique et centralisée, souvent hébergée dans le cloud. Cette maquette est intelligente, dynamique et mise à jour en temps réel, ce qui permet une collaboration en continu et une prise de décision basée sur des données toujours actuelles.
Un des grands avantages du BIM 3 est la possibilité de simuler le cycle de vie complet d’un bâtiment, de la conception à la déconstruction, en passant par l’exploitation et la maintenance. Cette vision globale favorise une gestion durable des ressources et une meilleure performance énergétique des bâtiments.